mardi 19 mars 2013

Elle voit ses droits d'assurance supprimés à cause d'un sourire sur Facebook


Nathalie Blanchard, une québécoise de 29 ans a quitté depuis plus d'un ans son porte chez IBM, en raison d'une profonde dépression nerveuse. Elle vit depuis grâce aux allocations de son assurance Manulife.
Or, Nathalie a diffusée sur Facebook des photos d'elle souriant en vacances et lors d'un spectacle de Chippendales. Ces photos n'ont pas échappées à son assurance, et cette dernière a décidé de suspendre ses allocations.
L'agent de la compagnie d'assurance aurait déclaré que si Nathalie était capable de fêter son anniversaire, de profiter de vacances au soleil ou d'un spectacle de strip-tease, et de communiquer sur Facebook, alors elle était en mesure de travailler.
Manulife n'a pas voulu commenter cette affaire, mais a publié un communiqué disant qu'elle ne prenait pas la décision d'interrompre les allocations d'un client en se basant uniquement sur des informations sur Facebook, mais utilisait ledit site pour s'informer sur ses clients.
La question que je me pose est, si Manulife ne se base pas uniquement sur ce qu'elle a vu sur Facebook, sur quoi se base-t-elle pour déclarer que Nathalie était en mesure de travailler et donc ne méritait plus ses allocations ?

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