L'adolescent demandait depuis le PC de son père à sa petite amie où se trouvaient les gâteaux, alors que les deux victimes se faisaient agresser dans le même temps.
Après que Facebook eut confirmé ces propos, le juge a ordonné la libération immédiate du jeune Rodney. « C'était un alibi solide. Cela reflète à quel point les sites de socialisation sur internet ont pris de l'importance dans nos vies » a commenté dans la presse américaine l'avocat de Rodney Bradfort.
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