À la libération, il existait un moyen relativement fiable de
distinguer les SS des simples soldats allemands : les membres SS avaient leur
groupe sanguin tatoué sur l'intérieur du bras au niveau de l'aisselle pour leur
permettre d'être soignés plus vite en cas de problème. C'est pourquoi les
soldats américains obligeaient les prisonniers allemands à défiler torse nu et
bras levés pour les identifier.
Paradoxalement, c'est ce qui sauva Joseph Mengele, le
médecin d'Auschwitz que les Américains tenaient entre leurs mains. Le tatouage
n'étant pas obligatoire, le sinistre docteur n'avait pas jugé utile de le
faire.
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